Markus (Matthias Dietrich) est un étudiant en anthropologie avec une spécialisation inhabituelle : dans le cadre de ses études, il se consacre aux formes de superstitions populaires et au phénomène des poltergeists. Alors que tout pourrait rester théorique, Markus a la possibilité de passer à la pratique. Son ami Lukas (Henning Nöhren) prévoit de partir en excursion, appareil photo en bandoulière, dans un château prétendument hanté. L'objectif : enregistrer des activités paranormales avec la caméra !
Avec l'amie de Markus, Rebecca (Liv Lisa Fries), qui n'est informée qu'en cours de route de ce qui l'attend, les trois amis se rendent dans un château d'eau et y passent immédiatement la nuit. Les nouveaux arrivants se réjouissent de passer des journées amusantes, mais au lieu de cela, c'est l'horreur pure qui les attend : quelque chose de démoniaque semble en effet rôder dans le château. Markus, Lukas et Rebecca se rendent bientôt compte qu'ils ne sont pas seuls...
Un « Projet Blair Witch » - mais « Made in Germany » et dans un château au lieu des profondeurs de la forêt. C'est la comparaison qui vient à l'esprit lorsqu'on regarde le film d'horreur de Daniele Greco, dans le genre du "found footage" (enregistrements trouvés). Il en résulte un "petit choc. Recommandé aux fans du genre". (Cinema)
"Grieco combine plusieurs stratégies de found footage - il utilise ainsi, outre les plans tremblants obligatoires, des plans qui rappellent les images de surveillance de "Paranormal Activity". De plus, il travaille avec des zooms soudains et des perturbations qui doivent exprimer l'action du surnaturel sur la technique. Le geste faussement documentaire du film est illustré par des insertions de texte qui, au début, indiquent par exemple que ce qui est montré est du matériel vidéo saisi sur la scène de crime. Dans la mise en scène de la hantise, Grieco utilise le répertoire standard de l'horreur en found footage pour générer des moments de terreur". (Andreas Köhnemann, sur : kino-zeit.de)
"DIE PRÄSENZ ne brille pas par son originalité, c'est une fois de plus un film qui utilise des formules déjà suffisamment éprouvées à l'étranger pour une production allemande. Mais au moins, le film le fait plutôt bien. « La présence » n'a pas à se cacher derrière des modèles comme « Le projet Blair Witch » ou « Paranormal Activity » (2007)". (Gregor Torinus, sur : spielfilm.de)
Markus (Matthias Dietrich) est un étudiant en anthropologie avec une spécialisation inhabituelle : dans le cadre de ses études, il se consacre aux formes de superstitions populaires et au phénomène des poltergeists. Alors que tout pourrait rester théorique, Markus a la possibilité de passer à la pratique. Son ami Lukas (Henning Nöhren) prévoit de partir en excursion, appareil photo en bandoulière, dans un château prétendument hanté. L'objectif : enregistrer des activités paranormales avec la caméra !
Avec l'amie de Markus, Rebecca (Liv Lisa Fries), qui n'est informée qu'en cours de route de ce qui l'attend, les trois amis se rendent dans un château d'eau et y passent immédiatement la nuit. Les nouveaux arrivants se réjouissent de passer des journées amusantes, mais au lieu de cela, c'est l'horreur pure qui les attend : quelque chose de démoniaque semble en effet rôder dans le château. Markus, Lukas et Rebecca se rendent bientôt compte qu'ils ne sont pas seuls...
Un « Projet Blair Witch » - mais « Made in Germany » et dans un château au lieu des profondeurs de la forêt. C'est la comparaison qui vient à l'esprit lorsqu'on regarde le film d'horreur de Daniele Greco, dans le genre du "found footage" (enregistrements trouvés). Il en résulte un "petit choc. Recommandé aux fans du genre". (Cinema)
"Grieco combine plusieurs stratégies de found footage - il utilise ainsi, outre les plans tremblants obligatoires, des plans qui rappellent les images de surveillance de "Paranormal Activity". De plus, il travaille avec des zooms soudains et des perturbations qui doivent exprimer l'action du surnaturel sur la technique. Le geste faussement documentaire du film est illustré par des insertions de texte qui, au début, indiquent par exemple que ce qui est montré est du matériel vidéo saisi sur la scène de crime. Dans la mise en scène de la hantise, Grieco utilise le répertoire standard de l'horreur en found footage pour générer des moments de terreur". (Andreas Köhnemann, sur : kino-zeit.de)
"DIE PRÄSENZ ne brille pas par son originalité, c'est une fois de plus un film qui utilise des formules déjà suffisamment éprouvées à l'étranger pour une production allemande. Mais au moins, le film le fait plutôt bien. « La présence » n'a pas à se cacher derrière des modèles comme « Le projet Blair Witch » ou « Paranormal Activity » (2007)". (Gregor Torinus, sur : spielfilm.de)